lundi 19 décembre 2011

[VENDU] Blackberry Bold 9780 (Orange) (TBE)


Acheté en Juin 2011, je dois encore avoir la facture. J'ai changé de portable en Novembre. Du coup je ne l'ai utilisé que 6 mois. J'y ai fait très attention par conséquent il est en très bon état.

Prix de vente : 80 €

C'est le prix le plus bas du marché. Vous pouvez rapidement vérifier cette information en regardant sur Le Bon Coin : http://www.leboncoin.fr/annonces/offres/ile_de_france/?f=a&th=1&q=Blackberry+bold+9780

Je n'accepte que l'espèce. Vu le prix, c'est presque offert, il faudra se manifester rapidement.

Contact : hapou[AT]hotmail[POINT]FR

Ps : si tu es malin tu peux même l'acheter pour le revendre plus cher après, mais ce n'est pas mon but.

5 bonnes raisons de devenir livreur de Pizza

Content

La Raison Financière

Premier argument indiscutable. En général on fait des jobs étudiants pendant nos études, donc entre 18 et 24 ans a priori. Du coup à moins d'avoir des parents qui ont beaucoup d'argent, tu es obligé d'avoir un travail à temps partiel qui va te permettre de financer ton appartement et tes soirées estudiantines.

L'amour pour les deux roues

Avec un peu de chance, tu conduis un scooter depuis l'âge de 16 ans et tu maîtrises le deux roues comme personne. Tu peux envisager ce travail comme un moyen de te promener sur ton moyen de locomotion préféré et en plus d'être payé pour ça.

Des réductions sur les pizzas

Mis à part à La Boîte à Pizza d'Angers où il y a des super réductions de 5 Centimes (YOUHOU), dans les autres magasins ils ont plus de chance. À titre d'exemple à Domino's Pizza, la pizza 4 personnes est à 7 euros et la deux personnes à 5. Juste pour comparer, à la Boîte à Pizza c'est 11,95€ la grande.

Des pizzas gratuites

Encore une fois, ce point ne marche pas pour la Boîte à Pizza mais dans les autres enseignes, quand vous fermez le magasin, c'est à dire vers 23h / 23h30 vous êtes récompensés par une pizza et une boisson. Avantage non-négligeable si vous êtes limite niveau budget nourriture. Le seul inconvénient c'est si vous êtes à vélo, c'est un peu compliqué à trimbaler.

Les pourboires

Contrairement aux États-Unis où le pourboire est fortement conseillé* en France c'est à l'appréciation du client. Après près d'un an de service (cumulé), je me suis rendu compte que le pourboire n'est pas systématique. Pour en obtenir il faut savoir ruser. La meilleure technique (celle qui s'est avérée être la plus efficace pour moi) est celle du ''je cherche la monnaie mais je te montre bien que je galère'' qui se solde par un ''gardez là monnaie ça ira''. C'est une technique que j'ai découvert à mon insu, en effet aller chercher 1,45€ dans sa banane cachée sous son manteau c'est relativement galère.
Il ne faut pas non plus négliger les 10 ou les 20 centimes. Car on arrive rapidement à des sommes honnêtes.
Pour les pourboires, il faut également éviter les clichés. Ce ne sont pas forcément les gens qui se font livrer dans les maisons du Lac de Maine qui vont en donner, ça vient vraiment de tous types de personnes.
Je pense aussi que les pourboires ne sont pas donnés en fonction du livreur et de son attitude, les gens le prévoient avant et ne le donne pas par rapport au service.

*en faisant une recherche Google j'ai trouvé des sites qui en parle mais c'est trop compliqué du coup je vais vous ressortir l'exemple de cette étudiante américaine qui venait nous donner des cours au lycée : 10% de l'addition si vous n'avez pas apprécié le service, 15% si ça allait mais sans plus et 20% si vous en êtes ravis.


In fine, livreur de pizza est un job étudiant relativement cool. Contrairement aux légendes, personne ne demande de conduire comme un taré sur la route. C'est vrai qu'en Hiver, quand il pleut et qu'il fait froid c'est plus compliqué mais dans ce cas-là soyez malin, commencez en Avril et arrêtez en Octobre et trouvez-vous un job au chaud pendant le reste du temps.  


Ps : j'ai mis cet article sur Angers Mon Amour, car je fais référence à des entreprises situés à Angers et vu qu'il s'agit de franchises les pratiques diffèrent peut-être des autres villes.

vendredi 9 décembre 2011

''Pas de réveillon cette année à Anger.''

OUI ! Toi aussi cette faute horrible te fait mal aux yeux et bien elle a été commise par... i>télé le 6 Décembre.



Pour comprendre le titre, je vous invite à lire cet article.

Merci @Fred_lille59 pour l'imprim'écran.  

dimanche 4 décembre 2011

Partir pour réussir #1 : Natacha, 29 ans

Natacha

Eric : Peux-tu nous présenter ton parcours scolaire ?

Natacha : J'ai étudié au Sacré-Coeur à Angers, formation littéraire avec spécialité mathématiques. Après le baccalauréat, je suis entrée à la Catho en Histoire où j'ai également suivi une prépa journalisme. Après l'obtention du DEUG, j'ai intégré la Sorbonne pour poursuivre mes études d'Histoire.
J'ai préparé mon mémoire ayant pour sujet ''La genèse de la base navale de Diego Suarez''. Base Navale située au Nord de l'île de Madagascar où l'armée française s'est installée à la fin du XIXème siècle. Heureux dénouement après des mois de recherches le nez plongé dans les archives militaire de la Marine Française qui se trouvent au Château de Vincennes. Obtention d'une jolie mention. J'aurais pu alors entrer sur le marché du travail, mais un autre domaine avait suscité mon intérêt: les Ressources Humaines. C'est ainsi que j'ai par la suite également préparé un Master en Management RH.


Grand amphithéâtre de la Sorbonne

Suite à l'obtention de ce diplôme en ressources humaines il était temps d'entrer sur le marché du travail ?


En effet, il était temps... C'est là qu'a démarré une nouvelle aventure à savoir vivre une expérience à l'étranger: départ pour Londres.  Je ne connaissais personne, mais le contexte économique était encore favorable à l'époque. En quelques semaines, je décrochais un super poste de consultante dans un cabinet de conseil en recrutement international. 
Cet emploi m'a permis de voyager et surtout d'évoluer au sein d'une équipe composée de personnes venant de tous les continents.

Est-ce-que tu pourrais revenir sur ton expérience londonienne qui a duré 24 mois ?

Même si géographiquement Londres n'est pas loin, la vie y est différente, il faut parfois composer avec d'autres codes. A titre d'exemple, j'y ai découvert une autre approche du rapport au travail. En ce qui me concerne, le rythme était dense. Et j'étais loin d'être la seule dans ce cas. Il y a une vraie énergie qui se dégage de la ville et donne l'impression qu'en travaillant dur, tout est possible. J'ai particulièrement apprécié le fait qu' on n'exige pas nécessairement de vous que vous ayez fait 10 ans dans votre cursus, on vous demande surtout d'être performant dans le job auquel vous prétendez. À partir du moment où vous montrez que vous avez envie et que vous êtes capable de le faire, l'endroit dont vous veniez n'était pas ce qui comptait le plus. Du moins, à l'époque où j'y ai vécu.



Après cette expérience londonienne retour à Paris.

Oui. On peut voir ça comme un "retour à la maison". J'ai énormément appris de cette expérience à Londres. Toutefois, après 2 ans, j'étais prête à rentrer. J'ai eu la chance d'être contactée pour développer le réseau international d'un pure player dans le secteur web. Un vrai coup de coeur tant au niveau humain que professionnel. A tel point que je me lance dans un nouveau challenge (encore un!). Désormais, j'ai pour objectif de me lancer dans la gestion de projets web. Fingers crossed.


Pourquoi avoir quitté Angers ?


Angers reste un point d'attache. 
Ceci posé, quel que soit l'endroit d'où l'on vient, il est bénéfique de s'ouvrir à de nouveaux horizons. Vivre à Paris et à Londres, c'était un rêve. Bien sûr, cela aide qu'il s'agisse de capitales synonymes de bassins d'emploi.
 Je suis émerveillée d'entendre les jeunes générations partir pour des échanges scolaires, professionnels, en Australie, aux USA... Notre génération, notamment grâce aux programmes Erasmus était essentiellement tournée vers l'Europe lorsqu'il s'agissait de partir à l'étranger. De nos jours, cela surprend de moins en moins de voyager dans le cadre de ses études. On pousse les frontières, et ça c'est beau! 

Que penses-tu de la ville d'Angers quand tu y reviens ?


C'est toujours un plaisir de revenir. Que ce soit pour un week-end ou quelques semaines. Maintenant, j'avoue que je trouve que ces deux dernières années, j'ai trouvé que le visage d'Angers avait beaucoup évolué. Avec d'ambitieux plans d'urbanisation et l'arrivée du Tramway, les personnes ayant bien connu la ville mais qui n'y auraient pas remis les pieds depuis longtemps seraient décontenancés. Pour autant, il me semble que cela ne modifie pas le fait qu'il s'agit d'une ville où il fait bon vivre. La douceur angevine n'est pas une légende.

L'idéal serait de pouvoir vivre à Angers et travailler à Paris. 

Partir pour réussir #0 : Préambule


Coucou, je viens vous présenter une nouvelle rubrique sur Angers Mon Amour : ''Partir pour Réussir''. Dans cette catégorie, vous pourrez retrouver des interviews avec des angevins qui sont partis de notre jolie ville pour ''réussir''.

La première sera en ligne entre 17h et 18h, Dimanche 4 Décembre.


vendredi 2 décembre 2011

La Catho : meilleure université d'Angers ?

Probablement.



En regardant la vidéo ci-dessous je me suis dit qu'on ne pourrait jamais faire une vidéo de la sorte à l'Université d'Angers. À l'UFR Lettres en tout cas. Jamais on entendra quelqu'un dire :

''J'en ai eu de très bons échos''
''Une bonne réputation dans le milieu du travail''
''Les profs nous connaissent''
''On s'y sent bien, ça reste une grande famille, on est content d'y aller le matin''






Avant la rentrée 2010, la fac était complètement délabrée et il n'y avait pas de cafétéria, Depuis l'année dernière, elle a plus ou moins retrouvé un visage, mais l'ensemble reste triste et la fontaine que personne n'a jamais vu fonctionner n'est pas là pour égayer le paysage.

Quand j'ai fait mon stage à Paris au cours de l'Été 2010 et que je disais que j'étais en Fac d'Anglais, tout le monde me demandait si j'étais à la Catho. Quand je leur disais que j'étais dans une fac publique ils faisaient la même tête que quelqu'un à qui tu dis que tu es journaliste et à qui tu révèles que travailles pour France Dimanche.

Enfin bref, si jamais tu es en terminale et que tu souhaites rester à Angers, insiste auprès de tes parents pour aller à la Catho, si tu entres à l'UFR Lettres tu vas le regretter.

Liens : UCO

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EDIT du 09/12/11 : Comme j'ai l'ai indiqué dans les commentaires, je vais rajouter les commentaires que j'ai reçu sur Facebook par rapport à l'article.

''Ton point de vue sur la fac de Belle Beille est assez pessimiste tu dois avoir tes raisons mais quand même c'est assez radical de dire que si les gens vont pas à la Catho ils vont le regretter ! Pour ma part, l’université d'Angers me convient tout à fait,au niveau psycho j'entends : elle a une bonne réputation, les profs nous suivent vraiment, et même s'ils ne connaissent pas notre nom, sont là quand besoin est. De plus, mes profs ont écrit beaucoup de bouquins et fait d'importantes recherches. Il est sans compter que le coût de la catho à l'année n'est pas donné à tout le monde ! Bref, je viens pas jouer les mères pèlerines, mais relativiser les faits ;)''  C.B.


''Le public mène à l'échec. C'est dégueulasse mais majoritairement comme ça.'' P.G.


''On te le dit depuis la seconde que la Fac c'est de l'autonomie . Après si tu sais travailler tu réussis . Y a beaucoup de gens qui aimeraient avoir une structure , des profs qui te soutiennent et tout , mais tous ces gens là n'ont pas le même porte-monnaie ;) .'' M.T.


''L'idée de la fac', c'est quand même d'offrir une chance à tous... Y'a déjà suffisamment d'élitisme dans le système français comme ça. Après, il faudrait peut-être une souplesse plus grand entre les filières, un peu à l'allemande (même si leur système est bordélique et a de gros défauts quand on a pas l'habitude...) de manière à pouvoir se réorienter facilement.'' C.R.


''Ayant fait 5 ans de catho, j'en ai aussi vu des gens échouer !'' Y.J.




J'ai également eu l'occasion de ''débattre'' de ce billet de vive voix et l'argument qui revient le plus souvent c'est le prix d'inscription à la Catho jugé trop élevé.